Jun, 15 ans, survit dans les rues de Tokyo en vendant des romans-photos, loin des autres humains qu'il exècre. Pourtant, un maître de sumo, voyant un gros en lui, le convainc d'assister à un match de sumo, et change sa perception du monde.
Ce très court roman se lit d'une traite. Je vois tout à fait ce qui aurait pu me plaire : les citations bouddhistes, le maître qui apprend à regarder différemment ce qu'il y a tout autour... Mais la sauce n'a pas pris. Le début m'a un peu agacée, la suite moins, mais je suis restée de marbre, pas vraiment d'échange d'émotions ici.
Du même auteur, j'avais largement préféré L'Evangile selon Pilate, La part de l'autre ou encore Oscar et la dame rose.
9 commentaires:
J'avais beaucoup aimé La part de l'autre et celui ne me dit rien du tout et c'est vrai qu'il est très court!
@emilie: Comme tu le vois ça n'a pas été le coup de foudre...
idem pas d'émotions ;)
@Fleur: je crois qu'on est d'accord sur ce livre !
J'avais bien aimé "Oscar et la dame rose" et "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran" mais depuis que j'ai lu " la rêveuse d'ostende", je n'ai plus très envie de lire ses livres récents. Je pense donc que je m'abstiendrai pour celui-là aussi.
@LN: Je pense que tu ne perds pas grand chose...
je lirai sans doute un jour Oscar, mais le sumo ne m'a pas vraiment emballée
@sylvie : moi non plus, comme tu le vois...
Moi non plus, je n'ai pas aimé. C'est trop court, trop "facile" comme histoire pleine de bons sentiments. Beurk ?
Lucien
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